Depuis le tragique événement du 30 août dernier survenu à Goma, où plus d'une cinquantaine de personnes ont perdu la vie lors des manifestations anti-Monusco, les dépouilles des victimes ne sont toujours pas rendues à leurs familles respectives. Deux semaines après ces incidents, les proches des défunts ne savent toujours pas quand ils pourront enfin leur offrir une sépulture digne.