Avec les confinements et les fermetures d'école, de nombreux jeunes ont été contraints de rester chez eux. En Ouganda, des groupes de défense des droits des enfants estiment qu'exploitation, abus sexuels et grossesses non désirées ont augmenté pendant la pandémie. Vulnérables, les jeunes filles n'ont qu'un accès limité au contrôle des naissances.