L'opposition burundaise déplore la décision des autorités de Bujumbura qui ont exigé mercredi de fermer le bureau du Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme. Cette démarche pourrait être préjudiciable au pays, estime Charles Nditije, le président de l’aile non reconnue par l’Etat de l’UPRONA, l'Union pour le progrès national, et membre de l’opposition burundaise en exil.