Environ 160 Banyamulenge massacrés vendredi dernier à Gatumba dans l'ouest du Burundi ont été inhumés cet après-midi non loin du camp de réfugiés où le drame s'est déroulé. La communauté internationale choquée exige une enquête et des sanctions sévères contre les coupables. La réaction de Christophe Sebudandi, président de la Ligue des droits de la personne dans la région des Grands Lacs, au micro d'Emmanuel Rushingabigwi.