500 jours après, pas de nouvelles des lycéennes de Chibok
27 août 2015Publicité
Les familles restent dans l'expectative, tandis que les membres de la secte islamiste continuent leurs attaques contre les populations civiles. Les proches des otages, soutenus par les activistes du mouvement « Bring back our girls » ce qui veut dire, rendez-nous nos filles en anglais, manifestent ce jeudi pour appeler le gouvernement à plus d’actions. 500 jours après, quelles explications donner à ces enlèvements ?
Ecoutez ci-dessus l’analyse du Professeur Philippe HUGON, chercheur à IRIS en cliquant sur l'image.